Switzerland. For a guy born and raised in Como, the neighbourhood. Beyond that, It’s not the first country that comes to mind when talking about food except, of course, for cheese and chocolate (no stereotypes here). But maybe that’s precisely why it’s emerging as one of the world’s most exciting foodtech ecosystems. After all, as we’ve often discussed, a strong traditional food culture can sometimes hinder innovation. Switzerland, unburdened by culinary dogma, is proving just the opposite.


Le point le plus méridional de la Suisse. (Crédit : Ticino.ch) https://maps.app.goo.gl/KFdLaJ6zA4GUBj1h6 Il est tout aussi évident que lorsque l’on pense à la Suisse, la première chose qui vient à l’esprit est probablement l’argent. Mais une grande quantité de capitaux suffit-elle à garantir un écosystème florissant ? Bien sûr que non. Alors, avec une bonne dose d’ironie, de préjugés masqués et de stéréotypes, voici un aperçu des principales raisons du remarquable succès de la Suisse dans la foodtech (et l’innovation en général), par rapport à d’autres pays européens (j’ai omis les pays européens en question, mais vous pouvez facilement imaginer lesquels — un petit défi amusant) Un système fiscal agréablement léger Pas de syndicats étouffants ni de grèves interminables. Confiance et loyauté — pas seulement des mots vides. Pas d’illusions de supériorité mondiale — juste des progrès constants. Un climat favorable (au moins au sud des Alpes). Discipline et respect de la loi — car le chaos est mauvais pour les affaires. Quel est vraiment le secret de la Suisse ? Moins d’ego, plus d’exécution. Bien sûr, aucune offense, les amis — juste un peu d’ironie saine pour ne pas trop se prendre au sérieux. Mais tout n’est pas rose malheureusement. Lorsque j’ai commencé à écrire cet article, je croyais que la Suisse était immunisée contre la vague souverainiste qui déferle sur l’Europe. Cependant, les interdictions de la Cour suprême suisse sur les produits Planted, le 2 mai, m’ont forcé à reconsidérer. Je ne sais pas ce que vous en pensez, mais vous serez d’accord avec moi pour dire que le souverainisme et le conservatisme sont les pires ennemis de l’innovation technologique, n’est-ce pas ?CONFOEDERATIO HELVETICA
UNE TACHE (PERMANENTE) ?


